© Genoskin
La start-up toulousaine a développé une technologie capable de conserver les propriétés de la peau humaine pendant une semaine. L’intérêt ? Proposer aux industries pharmaceutiques ou cosmétiques des échantillons de peau parfaitement représentatifs.
Sur le plan éthique, cette innovation répond directement aux problèmes que posent les tests sur animaux. Mais elle représente également une immense avancée du côté clinique. En effet, les résultats des études d’efficacité ou de tocixité en général réalisées sur des rongeurs restent imparfaits. L’alternative proposée par Genoskin est donc doublement avantageuse !
Cette technologie précurseuse captive des clients venus du monde entier. Si bien que cet été, Genoskin a implanté une filiale à Boston, où elle s’apprête à ouvrir un laboratoire pour se rapprocher d’un marché américain déjà séduit.
Le concours nous a permis d’avoir une visibilité plus importante. L’événement majeur est la création d’une filiale aux USA, qui sera suivie de l’ouverture d’un laboratoire en mars 2018. Notre objectif est de livrer nos clients aux USA depuis cette filiale.
La transition a été assez naturelle. Il y a de nombreux points communs entre le métier d’un chercheur qui porte et développe son projet, recherche des financements, et celui d’un entrepreneur qui crée sa société. Le risque est certainement différent, car l’entrepreneur n’a en général pas de poste, comme un chercheur peut l’avoir lorsqu’il a été reçu au concours.
On a qu’une vie et il faut saisir les opportunités qui ne se représenteront peut-être pas !
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Posté le: jeudi 01 février / Catégorie: Actualités des anciens participants,Start-up Connexion